
« Gay, hétéro ou menteur » : voici un des milliers de stéréotypes stigmatisants autour d’une phobie encore trop peu reconnue
« Bye Bi Amber » ou « Ciao Amber la Bi », titre élégamment le tabloïd anglais The Sun sa couverture de la rupture entre l’actrice Amber Heard et Johnny Depp, suite à une attaque violente de la jeune femme par son mari à coups de téléphone portable en plein visage. Selon le journal trashissime, monsieur aurait été poussé à l’agression physique par son anxiété débordante que la jeune femme, ouvertement bisexuelle, ne le trompe avec une amie – suggérant, dans un amalgame inquiétant, que son orientation rimerait avec voracité sexuelle, incapable de monogamie. Un exemple de plus prouvant à quel point le B du prisme LGBTQIA+ est incompris.